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Nous proposons ici un nouvel article consacré au son étudié comme onde acoustique. Pour cela nous allons dans un premier temps caractériser une idéalisation du milieu ambiant, l’air. Après tout c’est là que le son prend place. Bien entendu nous commencerons par quelque chose de simple, en assimilant, par exemple, l’air à un gaz parfait. Ceci va nous permettre de donner une relation assez simple entre pression, température, et densité de masse. Nous supposerons aussi que les expériences que nous mènerons par la pensée seront faites à température constante, et sans échange de chaleur (on dit isotherme, adiabatique) les aspects thermodynamiques ne sont pas pris en compte...

Ici on part d'un principe disant qu'un système se déplace librement en minimisant une certaine fonction de coût. On pose cela comme un principe "naturel". On traduit alors mathématiquement ce critère "économique" et on trouve "la structure mathématique" de grandes théories comme, la mécanique classique, la théorie de la relativité d'Einstein, les équations de l'électromagnétisme – là bien évidement, énonçant le principe d'induction électro magnétique, comment résister à l'envie d'évoquer le fonctionnement d'un micro guitare...

La distorsion est aujourd'hui un effet très répandu, de la variété au Jazz Fusion, des plans néo classique au Heavy Metal, du blues au Rock... on en trouve partout. Elle est contrôlée, calculée, modélisée, numérisée... Nous n'allons pas aborder ici les techniques informatiques et électroniques associées mais d'avantage tenter d'expliquer le phénomène sur un plan formel. Enfin, nous aborderons également dans cet article l'effet Larsen.

Dans ce document, nous proposons quelques éléments de base permettant peut être de mieux comprendre la manière dont sont définies les notes, les gammes et les accords en musique. L'approche se fait par les mathématiques un peu comme un exercice.